Carburants durables

Nous avons toujours visé l’objectif d’apporter une réponse à la problématique du réchauffement climatique en développant pour la première fois un isobutène renouvelable pour produire des carburants durables, véritable alternative aux carburants issus du pétrole.

Le secteur des transports est responsable de 25% des émissions de CO2 dans le monde

Quels sont les avantages des carburants durables développés par Global Bioenergies ?

* comparativement à la filière pétrochimique

Nos carburants

KÉROSÈNE
Incorporation possible à hauteur de 50% de l’isododécane renouvelable Global Bioenergies dans les moteurs d’avion à réaction

ESSENCE ROUTIÈRE
Incorporation possible jusqu’à 34% de dérivés d’isobutène renouvelable Global Bioenergies selon la norme EN228

ESSENCE D’AVIATION
Incorporation possible à 100% de dérivés d’isobutène renouvelable Global Bioenergies

ADDITIFS ROUTIERS
ETBE 100% renouvelable produit à partir d’isobutène renouvelable Global Bioenergies et de bioéthanol

Des produits testés et éprouvés

2021 : 1er vol international alimenté à 97% par de l’essence d’aviation renouvelable

2018 : 1ère mondiale, une Audi roule avec 34% de biocarburants

Biocarburants aériens

Peu de solutions disponibles à court terme
pour atteindre la neutralité carbone

Dans le transport aérien, les énergies renouvelables sont quasiment absentes : la faute aux contraintes techniques inhérentes à ce mode de transport.

Toute technologie impliquant une refonte totale des équipements, telle que l’avion électrique ou l’avion à hydrogène, porte encore un grand nombre d’incertitudes et nécessitera des dizaines d’années de développement avant d’être opérationnelle.

A court terme, l’atteinte de la neutralité carbone du secteur aérien repose principalement sur le recours aux biocarburants aériens : (SAF, Sustainable Aviation Fuels) comme s’y engagent la France, l’Union Européenne et plusieurs autres puissances.

Les compagnies aériennes, réunies au sein de l’Association du Transport Aérien International (IATA), affirment dans leur plan d’atteinte de la neutralité carbone pour 2050 :

65% des économies de CO2 réalisées d’ici 2050 reposeront sur le recours aux biocarburants aériens 

Les biocarburants aériens existants aujourd’hui sont produits à base d’huiles de cuisson usagées, ce qui fonctionne bien, mais à volume limité. Le relais viendra de la production de biocarburants aériens à partir de sucres industriels résiduaires et requiert des innovations de rupture, telle que l’innovation apportée par Global Bioenergies. A ce jour seules 7 technologies ont été validées techniquement et Global Bioenergies s’attend à voir son procédé certifié dans les tous prochains mois.

L’isododécane peut être incorporé jusqu’à 50% dans le kérosène utilisé par les avions à réaction, et représente ainsi l’une des rares solutions possibles pour limiter la pollution induite par le transport aérien.

Un marché mondial en pleine expansion

A échéance 2025, les projections de l’IATA, l’association du transport aérien international, font état d’un marché et par conséquent d’un besoin de solutions immenses

360,000
flights
2016 : 500 flights
2025 : 1 million flights

36 countries with
SAF policies
2016 : 2 countries
2025 : global agreement ?

7 technical
pathways
2016 : 4 pathways
2025 : 11 pathways

100 million
litres per annum
2016 : 8 million litres
2025 : 5 billion litres

$13 billion in
forward purchase
2016 : $2.5 billion
2025 : $30 billion

70% average CO2 reduction
2016 : 60% reduction
2025 : 80% reduction

Les Etats se mobilisent

Les Etats et l’Union Européenne se mobilisent pour mettre en place des mandats d’incorporation de biocarburants dans les moteurs d’avion afin de pousser le secteur aérien à atteindre la neutralité carbone d’ici 2050.

Ainsi, depuis le 1er janvier 2022, tout avion décollant du sol français doit contenir au minimum 1% de biocarburants aériens dans ses réservoirs.

Biocarburants routiers

A l’aune des discussions sur la disparition des moteurs thermiques, les biocarburants reviennent sur le devant de la scène : ils permettent de donner un avenir aux voitures actuelles à moyen terme en diminuant leurs émissions de CO2 de près de 69%.

Preuve en est, la course automobile montre une appétence pour les biocarburants. La Formule 1 s’est donné un objectif clair : recourir à 100% de carburants durables d’ici 2026 et atteindre la neutralité carbone d’ici 2030.